Olivier Escoffier

Je connais Olivier depuis mon enfance, nous nous croisions peu mais n’avions aucune conversation anodine, toujours profonde, sincère et porteuse d’humanité. Le voir partir aujourd’hui est bouleversant, d’une grande tristesse Toutes mes pensées les plus affectueuses pour son fils et sa famille depuis Paris.

Olivier.Ça a toujours été un plaisir de discuter avec toi.à chaque fois depuis 35 ans.d echanger.de deconner avec humour.de collaborer avec ton univers artistique si original et de haute exigence.ta sensibilité et curiosité intellectuelle.ta fidélité amicale.beaucoup de belles valeurs de coeur.ton affection vraie pour ma mère depuis ton adolescence.Tout cet amour pour Hugo exemplaire. Ce joli trio que vous formiez avec ta famille. Ton geste funeste nous envoie un message désespéré.désesperant .nous avons sans doute collectivement raté ta détresse.ignoré ton isolement.cela n aurait peut être pas suffit à te redonner force et courage d affronter ce passage de ta vie.Je te demande pardon pour mon manque d attention.je n ai pas vu venir .mon pote tu vas nous manquer. Veronique je tembrasse.tu as partagé avec lui tant de choses qui l ont comblés durant toute votre vie commune. Hugo.tu as émerveillé sa vie .il a investi son role de père avec tant de joie. Il était très fier de toi.notement de ta force mentale et determination ces dernieres années à l armée. Il t a transmis tant de belles choses que tu vas decouvrir. Francois Barucco

Nous vous adressons nos plus sincères condoléances pour ce deuil qui vous frappe. Que Dieu vous apporte le courage nécessaire dans cette épreuve.

C'est avec une profonde, trés profonde tristesse que j'ai appris le départ de mon ami Olivier. Nous avions fait connaissance il y plus de 40 ans dans les ateliers de l'Ecole d'Arts Décoratif de la Villa Arson de Nice, il était demeuré depuis cette époque le seul ancien étudiant de l'école avec lequel j'étais resté en contact. Nous nous étions perdus de vue dans les années qui suivirent la fin de cette période estudiantine, puis nous nous sommes retrouvés par hasard et avons depuis lors entretenu des contacts fréquents, même si les aléas de l'existence nous tenaient de plus en plus éloignés. Toutefois, il me souvient avec bonheur que nous avions un temps envisagé de faire "cause commune" sur un projet audiovisuel qui, hélas, ne verra jamais le jour, mais, Olivier, où que tu sois, sache que j'ai toujours dans mes cartons les dessins que m'avaient inspiré notre projet de l'époque et qui me font encore bien rire… Je suis de tout cœur avec tes proches dans cette douleur.